Depuis les dernières élections qui ont mis hors de course le président américain sortant Donald Trump au profit de l’élu Joe Biden, les États-Unis sont partagés entre deux camps. Les préparatifs de l’investiture prévue pour le mercredi 20 janvier sont perturbés par une menace d’attaque qui pourrait provenir de la garde nationale.
La déclaration du ministre des Armées
Bien que les résultats des élections présidentielles aux États-Unis n’aient pas satisfait tout le monde, la préparation de l’investiture semblait aller bon train jusqu’à cette annonce peu rassurante. En effet, Ryan McCarthy le ministre des Armées a annoncé l’imminence d’une attaque provenant d’un membre de la garde nationale.
En effet, l’insurrection du 6 janvier au capitole avait déjà instauré un climat peu avenant et craintif. La situation est telle que le FBI est impliqué, car cet organe a émis une note interne pour confirmer les soupçons. Selon les dires de l’organe confié au média ABC, un « groupe armé identifié s’apprêterait à envahir les locaux du gouvernement dans tous les États américains ».
Les mesures prises pour empêcher l’attaque
Les 25 000 soldats chargés d’assurer la sécurité du nouveau chef d’État et des personnalités prévues pour assister à l’évènement ont fait l’objet d’une enquête approfondie et leur généalogie passée au peigne fin. Les identifiants personnels de chacun d’eux ont été insérés dans une base de données afin de déterminer s’ils avaient des raisons de perpétrer une telle attaque.
Une vérification approfondie a été effectuée pour déterminer s’ils possédaient des antécédents terroristes ou si dans leur pedigree un terroriste ou un complot de terroriste avait existé. Tous les signaux d’alerte sont traqués.
Les cœurs sont donc en émoi depuis l’annonce de cette nouvelle et le président américain sortant a d’ailleurs annoncé son absence à l’investiture de son successeur. On reste à l’écoute des nouvelles et l’on espère que cette bombe sera désamorcée très prochainement.