Le monde de l’emploi est très souvent miné par des inégalités qui mettent à mal le travail de certaines personnes. Qu’on soit d’origine diverse, de culture et de personnalités différentes, la loi permet deux cas de discriminations.
Les discriminations négatives
La discrimination négative consiste à traiter inférieurement une certaine couche d’employés au détriment des autres. Vous découvrez ici qu’il peut s’agir de discrimination liée à l’embauche. Il est fréquent que l’ors d’un entretient d’embauche, un candidat soit refoulé pour cause de la couleur de sa peau ou pour tout autre motif jugé illégal par les lois. On peut aussi parler de discrimination négative en cas de licenciement pour des raisons syndicales ou des raisons liées à l’apparence physique. La liste n’étant pas exhaustive, il peut aussi s’agir de licenciement pour l’orientation sexuelle ou pour des convictions religieuses. On peut prendre comme exemple le cas d’une femme qui est licenciée parce qu’elle se retrouve enceinte. A proprement parlé, la charge de la preuve en cas de discrimination incombe à l’employeur. Ce dernier devra prouver que son acte n’était pas posé dans le but de porter atteinte aux appréhensions d’un tiers.
Les discriminations positives
La loi a certes prévu les cas de discrimination négatives, mais il sied également des cas où cette discrimination ne constitue pas une situation illégale. Elles concernent le plus souvent les personnes spécifiques, notamment les handicapées et les femmes enceintes. De ce fait, sur appui de votre condition physique qui ne vous permet pas ou plus d’exercer certaines tâches, des mesures seront prises soit pour alléger votre travail ou tout simplement de vous en exclure. Il est important de signaler que dans le deuxième cas, la mesure ne consiste pas à vous démettre de votre fonction mais de vous attribuer d’autres tâches. C’est le cas lorsqu’un employé se retrouve affecté à un nouveau poste en raison de sa condition de santé.